Lorsque nous nous intéressons à un terrain, nous étudions attentivement les possibilités offertes en termes d’urbanisme. En parallèle, nous procédons à l’inventaire des éléments de biodiversités présents ou potentiels à favoriser.

Pour cela, nous engageons un inventaire primaire de la faune et la flore des lieux. Une telle démarche est essentielle afin de les intégrer dans notre futur projet et ainsi, limiter toutes sortes de destructions. Nous pouvons ainsi procéder à la mise en place de mesures compensatoires si nécessaires.

En rénovation : objectivement l’isolation d’un bâtiment peut avoir pour conséquence d’entraîner la destruction de nids d’hirondelles ou de martinets existants. Il est donc judicieux pour nous d’intervenir, en dehors des périodes de nichage, entre la fin de l’été et le printemps. La mise en place de nids artificiels peut même s’avérer être une solution, dans certains cas.

Notons que d’autres oiseaux et les chiroptères, utilisent les combles et peuvent être dérangés lors de travaux d’isolation ou durant un changement de toiture. De la même manière, nous veillons à être vigilants sur ces besoins cycliques.

Enfin, nous veillons à implanter des espaces verts composés d’espèces initialement présentes sur site ou d’essences locales adaptées à la nature du sol, afin de perpétuer la boucle vertueuse environnementale. Celles-ci vont alors se développer et satisfaire une microfaune, petits mammifères et autres oiseaux déjà présents dans les environs.

Malgré la réalisation d’espaces urbains, notre démarche responsable permet finalement de conserver une biodiversité saine, afin que le cadre de vie s’en ressente durant les décennies à venir. Nous avons à cœur de la mettre en valeur pour la sérénité des résidents.